• Ou passe notre argent? devinez...

    D'après Guillaume Peltier

    Chers amis,
     
     
    Alors que la noble vision de Pierre Laroque, le « père fondateur de la Sécurité sociale », au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, était de garantir à chacun qu’il disposerait des moyens d’assurer sa subsistance et celle de sa famille, certains s’évertuent, de plus en plus, à dépouiller l’Etat et à profiter frauduleusement de ce système. Chaque année, ce ne sont pas moins de 50 milliards d’euros que l’Etat se voit subtiliser par les fraudeurs. Imaginons un instant tout ce que l’on aurait pu faire avec 50 milliards d’euros par an depuis toutes ces années pour l’hôpital, pour l’éducation, pour l’armée, pour la police. Imaginez ce que l’on pourrait faire demain si l’on récupérait ces 50 milliards, si les fraudeurs arrêtaient de nous en priver. Cette fraude sociale est telle qu’elle handicape notre pays à financer les investissements structurels nécessaires à son bon développement et à l’amélioration de la qualité de vie, de la qualité des soins, de la qualité de notre éducation.   Nous devons poursuivre toutes les formes de fraudes. Que ce soit la fraude aux prestations sociales relative à l’immatriculation, au RSA, aux allocations d’adultes handicapés, au minimum vieillesse ou encore la fraude aux arrêts maladie, nous devons y mettre un terme et ce, urgemment.   Pour l’inscription frauduleuse d’étrangers à notre système, ce sont plus de 5 millions de « fantômes » : en effet, alors que nous sommes 67 millions d’habitants en France, 73,7 millions de personnes sont bénéficiaires de prestations sociales en 2020. Cela démontre bien la défaillance de notre système.   Tant d’exemples ahurissants achèveront de convaincre les plus naïfs. Et je vous invite à lire l’excellent rapport parlementaire de mes collègues Patrick Hetzel et Pascal Brindeau, ou encore le livre édifiant de l’ancien magistrat, Charles Prats, « le Cartel des fraudes », dont il évalue le montant à 52 milliards par an. Ce dernier démontre comment la haute administration refuse la mise en place du fichier national de lutte contre les fraudes que nous avons voulu mettre en place à travers nos votes à l’Assemblée nationale : ainsi, l’une des dernières décisions d’Edouard Philippe, en juin 2020, fut de supprimer la délégation nationale de lutte contre les fraudes remplacée par une obscure mission aux pouvoirs réduits.   Je vous livre, ici, quelques-uns des exemples les plus scandaleux de cette ruine organisée des contribuables et cotisants français, c’est-à-dire chacun d’entre nous, Français des classes moyennes qui continuons de payer cher, très cher, trop cher, le laxisme de nos gouvernants :  
     
     suite avant, je sais c'est pas logique, la censure non plus
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