• Laxisme ? un mot inconnu du gouvernement ? sans doute parce que , bonjour.....

     

     
     
    Droit de propriété : stop au laxisme !
     

     Emmanuel Macron et son gouvernement n’ont toujours rien fait contre le squatt !

    En effet depuis plusieurs jours, une quinzaine d’occuppants squattaient la maison d'un retraité de 84 ans à Toulouse, la troisième fois en deux ans. Après un appel lancé sur les réseaux sociaux par sa fille, des riverains se sont mobilisés mais la situation restait bloquée. Elle a finalement dû saisir le préfet de la Haute-Garonne qui a déclenché une procédure d’expulsion accélérée pour les voir partir enfin mercredi matin.

    Cette situation invraisemblable s’explique par une bureaucratisation excessive des procédures d’expulsions. Lorsque quelqu’un s’installe illégalement dans le domicile d’une autre, il est nécessaire de recourir au juge et d’attendre parfois des mois pour que cette procédure réussisse, l’issue n’est possible qu’au terme d’une procédure bien trop lourde…

    C’est aussi le fait d’un laxisme intolérable et d’un flou juridique latent qui encadre le droit de propriété. La protection du domicile, aujourd’hui très réduite, n’intègre ni les résidences secondaires ni les locaux commerciaux, ni toute autre propriété qui ne serait pas une habitation. Et les sanctions sont loin d’être sévères : 15 000 euros d’amendes et un an d’emprisonnement au maximum.

    Cela ne peut plus durer. C’est pourquoi, depuis 2019, je me suis engagé dans ce combat en co-signant une proposition de loi avec Julien Aubert, député de Vaucluse, visant à punir pénalement l’appropriation du bien d’autrui sans motif légitime. Vous pouvez compter sur ma détermination pour aller au bout de ce combat, contre cette injustice, pour que le droit de propriété soit enfin respecté.

    oherffrownarf incroyable mais....

     
     
     
    Violences urbaines à répétition : mes solutions concrètes !
     
     Chaque jour la réalité semble donner un peu plus tort au Gouvernement et à Eric Dupont-Moretti qui déclarait en septembre 2020 que « le sentiment d’insécurité était de l’ordre du fantasme ». Pourtant, pas plus tard que lundi, des policiers de la BAC ont été visés par des coups de feu dans le quartier de la Duchère, à Lyon. Le lendemain, c’est la ville d’Alençon qui subissait des violences intolérables, avec pas moins de 13 véhicules incendiés.   Ce qui est d’autant plus frappant, ce sont les excuses trouvées par la gauche et l’extrême gauche à ces délinquants incontrôlables, qui ont pour seul but de faire régner la terreur. Ils expliquent ces violences par la ghettoïsation des quartiers et le désengagement de l’Etat, oubliant de designer une gangstérisation profonde et banalisée, d’individus qui ne respectent ni ne redoutent plus personne.   Le quartier de la Duchère, loin d’être un « ghetto » à l’abandon, est symptomatique de l’échec des politiques de la ville à avoir une approche globale des problèmes de fond, et notamment du volet sécuritaire : 1600 logements démolis, 1600 logements reconstruits, nombreux équipements publics (transports, gymnases, bibliothèques…), création de 23 000 m2 de locaux d’activités tertiaires, 8000 m2 de surfaces commerciales… Au global entre 2014 et 2020, 34 milliards d’euros ont été investis par l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine, les collectivités locales et les bailleurs sociaux pour la rénovation urbaine des banlieues !   L’Etat a beau investir à fonds perdus dans ce qu’on appelle désormais les « territoires perdus de la République », rien ne change. Les violences s’installent dans des quartiers devenus des zones de non-droit, où seule la réponse pénale s’impose. Pour cela, je propose : 
    • de créer une « force d’intervention spéciale » qui rassemblerait et associerait des policiers, des gendarmes, des militaires, des douaniers, des magistrats, des agents du renseignement et des contrôleurs fiscaux, pour investir toutes les enclaves islamistes.
     
    • de rétablir les tribunaux correctionnels pour mineurs, tout comme les peines-planchers pour les récidivistes, mais aussi permettre, dès 12 ans, avec l’accord des parents, le principe de la réparation d’un délit par un travail d’intérêt général ou social dans sa commune.
     
    • de responsabiliser les familles par la transformation des petits délits du quotidien en contraventions avec paiement immédiat, prélevées sur les aides sociales, ou en confiant à la police,avec le contrôle d’un juge, le pouvoir d’interdire à un délinquant de fréquenter le quartier où il commet ses incivilités qui empoisonnent la vie quotidienne.
     
    • de développer dans chacun de nos départements des centres de rééducation avec encadrement militaire pour tous les mineurs délinquants récidivistes, l’encadrement des jeunes en voie de marginalisation ou d’entrée active dans un parcours de délinquance.
     
     
     
     
    Pologne : non au diktat des juges de Bruxelles
     
     Alors que la Cour suprême polonaise s'est prononcée contre la primauté du droit européen sur la constitution nationale et essuie depuis de très lourdes sanctions de la part de l’Europe (amende d'un million d'euros par jour !), je regrette que l’Union européenne se soit enfermée dans ses tours d’ivoire. Depuis trop longtemps, et encore plus depuis 2005, celle-ci reste figée dans des obsessions technocratiques, libre-échangistes, en s’oubliant elle-même et en oubliant les peuples.   La Cour suprême polonaise a été courageuse en jugeant plusieurs articles du traité de l'UE incompatibles avec la loi suprême polonaise. Celle-ci a déclaré que les institutions européennes « agissent au-delà du champ de leurs compétences », dénonçant à cette occasion l'ingérence de Bruxelles dans les réformes du système judiciaire polonais.   Je salue le courage de nos confrères polonais mais déplore la couardise de nos dirigeants face à l’Union européenne. Chaque fois depuis 2005, l’histoire se répète inexorablement. Si la volonté populaire ne convient pas aux instances technocratiques et hors-sol de Bruxelles, celles-ci trouvent des moyens pour contourner la souveraineté des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce gouvernement des juges est encore plus fâcheux lorsqu’il handicape lourdement les pays européens à mener les politiques de leur choix. Ainsi, sur le plan de l’immigration ou de la sécurité, la France est presque sous tutelle tant la CEDH s’avère contraignante.   Elle est un obstacle à la politique que je souhaite mettre en place de « rétablissement, de l’autorité de l’État et de protection de ceux qui sont menacés par le terrorisme ». C’est pourquoi je prône une sortie temporaire de la Cour européenne des droits de l’homme qui bride la souveraineté des peuples et des nations. Parce que les juges ne sauraient avoir de passes-droit, comptez sur moi pour qu’ils se plient à la souveraineté des États et à la volonté populaire.
     
     
     
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